EXÉCUTION DU JOUR
Selon Oleg Loginov.
7 décembre
EXÉCUTION DU MARÉCHAL NEY
Michel Ney — l’un des plus célèbres maréchaux de l’époque des guerres Napoléoniennes, le duc d’Elhingen, a reçu le titre de Prince de Moscou pour ses prouesses dans la bataille de Borodino. Napoléon l’appelait «le Brave des Braves « — »le plus courageux des braves».
Lorsque Napoléon revint de l’île d’Elbe, Ney promit à Louis XVIII de ramener Napoléon vivant ou mort, mais le 17 mars 1815, emporté par toute son armée, il passa du côté de Napoléon.
T. M. Charms. «Ney mène une attaque de cavalerie contre le carré de l’infanterie britannique sur les pentes du Mont Saint-Jean»
Le 16 juin, il combat à Waterloo avec beaucoup de courage. En dessous, cinq chevaux ont été tués, mais Elle, en uniforme déchiré, le visage noirci de poudre à Canon, essayait toujours de rassembler les soldats restants pour attaquer en criant: «Regardez mourir le maréchal de France!». De retour à Paris après la défaite, il conseilla à la chambre des pairs de convoquer les Bourbons. Fuyant la Suisse, il est arrêté le 19 août et emmené à Paris.
Aucun général ne voulait juger un commandant. Le tribunal militaire, composé d & apos; anciens associés de Ney, s & apos; est prononcé sur son incompétence dans l & apos; affaire. La chambre n’attendait que l’occasion de faire preuve de diligence. Elle a été condamnée à mort pour trahison et incitation à la rébellion. Sur cent soixante pairs, un seul, le jeune duc de Broglie, vota contre son exécution. Cent trente-neuf voix ont été déposées pour la peine de mort immédiate — sans droit de recours. Curieusement, Ney pour trahison à Louis XVIII a été jugé sur la base… lois de l’époque de la révolution et du code pénal napoléonien.
Dessin De Kenneth Petts. «Maréchal Ney».
Le 7 décembre 1815, après avoir pris la Dernière communion, le maréchal Michel Ney se dirigea fermement vers le lieu d’exécution choisi sur la place de l’Observatoire à Paris, en passant devant le buste du roi Henri VI, il dit avec un soupir: «il était courageux et savait pardonner».
Tableau De Charles-Édouard Armand-Dumaresc. «Fusillé par le maréchal Ney le 7 décembre 1815»
Puis il se leva au mur et, s’adressant au peloton de grenadiers qui lui pointait des fusils, il commença à dire: «Français, je proteste contre ma condamnation, mon honneur…!».
Et puis il y a eu une salve qui l’a coupé en deux. Ney est tombé, touché par 11 balles, l’un des soldats a délibérément tiré sur le mur.
Le maréchal était déjà mort et sa femme Aglaia-Louise attendait en vain le roi Louis XVIII devant l’escalier du pavillon de Flore pour lui demander pardon pour son mari. Enfin, le Chambellan du roi a eu pitié d’elle et a dit: «Madame, l’audience que vous attendez n’a plus de sens.»
Photo sur le thème «les maréchaux exécutés»
* Les textes de Wikipedia et d’autres ressources en ligne ont été utilisés.
* Traduit par dictionnaire électronique. Le texte original en russe et bien plus encore sur le sujet criminel peuvent être sélectionnés sur la page principale du site — http://crimerecords.info/